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L'échec est nécessaire !

Dernière mise à jour : 7 déc. 2021


Oeufs cassés pour faire une omelette
crédit photo : Oliver Zenglein

« On ne fait pas d’omelette sans casser des oeufs »…

Les lignes bougent, mais la France est encore réticente à parler de l’échec sans tabou, pourtant, les Américains ont compris depuis bien longtemps que l’échec fait en réalité partie intégrante de la réussite. Lorsque vous étiez petit, c’est à force de tomber que vous êtes remonté sur votre vélo pour savoir en faire correctement aujourd’hui.

Echouer fait partie de la démarche d’apprentissage, c’est en faisant des erreurs et en les analysant qu’on arrive à s’améliorer et c’est pareil dans tous les domaines de la vie. Se tromper une fois est une erreur, faire la même erreur 2 fois, c’est une connerie.


Les exemples à garder en mémoire

Saviez-vous que James Dyson a vu recalé 5126 prototypes avant d’aboutir à l’aspirateur qui a fait de lui, selon Forbes, un homme dont l’actif net est estimé à 4,2 Milliards de dollars.


Steve Jobs a été renvoyé d’Apple en 1985 alors qu’il était le co-fondateur, il va alors fonder la société NeXT qui va connaître le succès et qui sera alors racheté par Apple 11 ans plus tard, permettant ainsi à Steve Jobs de revenir à la tête de la marque à la Pomme et de continuer à la développer pour en faire finalement la première entreprise capitalisé au trillion de dollar.


Des exemples comme ceux-ci, il y en plein, JK Rowling s’est vu rejetée par plusieurs éditeurs, et vivait d’allocations avant qu’un agent littéraire s’intéresse à ses manuscrits désormais mondialement reconnus de Harry Potter !


Walt Disney a été renvoyé de son premier poste pour « manque d’imagination », puis il a créer une société qu’il a du liquider avant de devoir survivre en mangeant de la nourriture pour chien avant de reprendre la création et qu’on lui dise que l’idée d’une souris ne marcherait jamais… Cette souris et l’empire qu’il a laissé derrière lui génère aujourd’hui 55,6 Milliards de dollars.


Pour faire bouger les lignes

Les Américains vouent un culte à l’échec car ils savent que c’est la première étape indispensable vers la réussite. Chez eux, ont fait plus facilement confiance à quelqu’un qui a échoué car on sait que maintenant il a intégré ces erreurs et qu’il ne refera pas les mêmes.

Pour partager ces échecs, il existe même des conférences qui sont organisées à travers le monde sous la franchise failcon (failure convention) www.thefailcon.com certaines dates ont d’ailleurs été réalisées en France, à Paris, Lyon, Grenoble ou Toulouse.


Et vous, allez-vous mieux accueillir l’échec au sein de vos équipes ?


 

Cet article a été rédigé avec ❤︎ par les équipes de Meryl & Associates

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